lundi 20 juin 2016

voyage

L’année dernière, je suis partie en voyage partout le monde toute seule, à la Guadeloupe, après à la Martinique, et le dernier endroit magique que j’ai eu l’occasion de visiter a été l’île de Cuba.
Je vais raconter mon parcours pas à pas :

D’abord en juillet dernière je suis partie de Paris vers la Guadeloupe, la distance environ est de  6789 kilomètres. Cette île est située au Caraïbe, au nord de Venezuela en Amérique du Sud à l’Est de la République Dominicaine et au Sud des États-Unis. Là, j’ai pu apprécier les chutes du Carbet où je suis restée une semaine. Par rapport au climat, là-bas était la saison des pluies, et il faisait chaud



Puis, Grâce à une promotion de l’agence de voyage de ma tante, je suis partie sur l’île de la Martinique, heureusement elle est situé près de la Guadeloupe et j’ai seulement voyagé la distance de 284 kilomètres, encore une fois toute seule. Cette opportunité j’ai amené une valise pleine des maillots de bain et au retour j’ai rapporté des souvenirs pour ma famille.


Bien sûr, ces expériences d’être loin de mon foyer familial m’ont fait réfléchir sur l’importance de mes parents et mon frère dans ma vie, et c’est la raison pour laquelle le dernier voyage que j’ai fait cette année a été à Cuba, avec eux. Là, nous avons visité la plage de Varadero et nous sommes restés trois semaines à L’Habana.




Enfin, Le retour à Paris a été si triste en revanche j’ai rapporté plusieurs photos comme souvenirs.


mardi 29 mars 2016

Discrimination positive

La discrimination positive a été créée aux États-Unis
Elle permet de donner égalité d'oportunités aux handicapés 
Au Pérou pour obtenir un bourse ou un travail.




Le Racisme. discrimination

Situation de racisme, au Pérou

Ma cousine m’a raconté qu’elle a toujours été victime de discrimination à cause de la religion qu’elle pratique. Elle est adventiste.
Un jour, quand elle était à l’école secondaire, ses parents ne voulaient pas qu’elle prenne le cours de religion catholique, mais les professeurs étaient tellement intransigeants sur avec ce sujet. Et parce qu’elle avait peur d’avoir de mauvaises notes, elle a préféré rester au cours.
Quelques fois, les copains de son école  se moquaient de ses croyances et des interdictions de sa religion, comme ne pas utiliser de boucles d’oreilles,  ne pas boire d’alcool, et  ne pas manger de cochon. Plusieurs fois, elle n’a pas été invitée aux activités ou aux fêtes de ses copains.
Peu à peu, elle est devenue une fille triste et sans amis, c’était une époque très dure pour elle.
Pour moi, c’était une situation vraiment incompréhensible, parce que je crois que nous sommes libres de choisir notre religion et que les autres ne doivent pas se moquer ou peut-être obliger à suivre des coutumes que nous ne voulons pas.


À mon avis, d’une part il faut respecter les opinions des autres sur certains sujets comme la religion, et d’autre part il n’est pas nécessaire d’être fanatique et plein de préjugés. D’après moi, je ne crois pas qu’il y ait de vérité absolue sur Dieu ou la religion.




Changements

1980

•On est prié de ne pas injurier la famille du conducteur afin de ne pas le distraire. On est prié de ne pas distraire le conducteur avec aucune mini-jupe afin de ne pas le distraire

1990

•On est prié de na pas arracher la casquette du conducteur afin de ne pas le distraire
2000

•On est prié de ne pas arracher la caisse du conducteur afin de ne pas le distraire
2010

•On est prié de ne pas agresser physiquement le conducteur afin de ne pas le distraire
Aujourd’hui

•On est prié de ne pas assassiner le conducteur afin de ne pas arrêter intempestivement le bus 

mercredi 23 mars 2016

lettre

Maëva Fontaine
BP 2007
1300 Marseille
France
Tel : 094 094 01 60 57 89                                                                  VIP TRAVEL
84 rue Victor Hugo
75006 Paris


Paris, le 3 juillet 2015

Madame, Monsieur,

Je viens de rentrer d’un circuit d’une semaine organisé par votre agence, à Cuzco.

Je tiens à vous faire part de ma profonde insatisfaction.

En effet, la réalité du circuit a été trop différente de celle qui est décrite sur votre page Internet.

Certes, l’hôtel était bien situé, mais la chambre était sale et en mauvais état. Il n’y avait qu’une salle de bain par étage. En plus, le petit-déjeuner était inclus au prix du circuit. Or, l’hôtelier m’a dit que l’hôtel n’offrait pas ce type de service, et je n’ai rien reçu.

Et j’ai eu bien d’autres motifs de déception.

Tout d’abord, je n’ai pas pu faire le circuit à Machupicchu à cause de votre information incorrecte, vous m’avait informé que le train partait à 6 h, cependant il est parti à 5 heures sans moi.

Ensuite, il y a eu des inconvénients, pendant la visite au Temple de Qoricancha. Le guide ne parlait que l’anglais donc les autres français du groupe et moi n’avons rien compris.

Puis, une autre déception : votre forfait n’avait pas organisé d’autres excursions comme Sacsayhuaman ou Ollantaytambo et j’ai dû m’orienter vers une agence de tourisme locale. Finalement, l’avion de retour m’a laissé car vous n’aviez pas payé le billet de retour.

Vous comprendrez que ces problèmes ont gâché mon séjour et je suis profondément indignée.

J’estime donc avoir été lésée et je vous demande réparation sous forme d’un remboursement immédiat. Veuillez me faire connaître au plus vite votre décision afin que je puisse le cas échéant faire une démarche en justice.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.


Maëva Fontaine


lundi 21 mars 2016

LÉGENDE DE MANCO CAPAC ET MAMA OCLLO

LÉGENDE DE MANCO CAPAC ET MAMA OCLLO
Origine :
Cette légende est connue grâce aux écrits du chroniqueur métis Inca Garcilazo de la Vega. Il était le fils d’un capitaine espagnol, Sebastian Garcilazo de la Vega et d’Isabel Chumpi Ocllo, cette femme était la petite-fille de Tupac Yupanqui.

Garcilazo de la Vega a obtenu toute l’information des histoires du Tahuantinsuyo car il était descendant de la noblesse inca. En 1609, il a écrit son œuvre « Commentaires royaux des Incas », laquelle a une valeur historique et littéraire très important.



Légende :
Près du Lac Titicaca, les hommes et les femmes vivaient comme des animaux sauvages, ils n’avaient pas ni religion ni lois. La population de ce lieu ne connaissaient pas ni l’agriculture, ni l’art textile, à cause de cela, ils ne se déplaçaient que pour trouver aliment.






Le Dieu « Inti » a vu tout ce panorama, et il a pris la décision d’envoyer ses enfants  Manco Capac et Mama Ocllo pour fonder un royaume, civiliser les habitants et implanter le culte religieux au Soleil (Inti)
Manco Capac et Mama Ocllo sont sortis du Lac Titicaca, aux rivages de Puno. Le Dieu « Inti » leur a donné un sceptre d'or lequel servirait à trouver le lieu idéal pour la fondation du royaume.
Les hommes et les femmes les ont reconnus comme des êtres surnaturels et les deux enfants du Dieu Inti les ont soumis. Après une traversée pour trouver le lieu idéal de fondation de l’empire, le sceptre d’or a été enfoncé sur la colline Huanacauri.


Finalement, ils ont fondé leur empire Inca à Cuzco. D’une part, Manco Capac a enseigné aux hommes l’agriculture, la construction de maisons, la pêche, les sciences et d’une autre part, les femmes ont appris à coudre, cuisiner et faire le ménage grâce aux enseignements de Mama Ocllo.

Valeur historique :


La légende explique la fondation de l’empire Inca cependant il y a quelques historiens  qui n’assurent pas la véracité de cette légende car l’Inca Garcilazo de la Vega aurait eu tendance à trop d’idéaliser ses ancêtres du côté maternelle.


Il est possible que la culture Tiahuanaco ait été représentée par Manco Capac et cette légende raconte la manière comme ils ont émigré à Cuzco.

Procession de la Vierge de Chapi à Arequipa

Procession de la Vierge de Chapi à Arequipa :




SITUÉ :
Le sanctuaire de la Vierge de Chapi est situé à 90 kilomètres de la ville d’Arequipa dans un endroit désertique qui s’appelle Chapi, entre la région Arequipa et la région Moquegua, dans  l’arrondissement de Polobaya lequel appartient à Arequipa.



L’ORIGINE :
L’origine de cette tradition est du XVII° siècle. Il est probable que les missionnaires franciscains ont amené l’image de la Vierge de Chapi, d’Espagne.





HISTOIRE :
En 1793, le curé de Pocsi, a ordonné le déplacement de l’image vers Sogay mais pendant le pèlerinage les hommes qui amenaient la Vierge, ne pouvaient pas continuer et à cause d’une tempête de sable, elle est restée là-bas.
À ce moment-là, c’était impossible de bouger l’image, aussi il y a eu des gens qui ont entendu que la Vierge disait ¡¡Chaypi, Chaypi!! Et puisqu’ils ont entendu cette phrase, la vierge a été nommée comme la Vierge de Chapi.

PELERINAGE : 
Le 1er mai, a été choisi comme le jour principal du pèlerinage. Ce jour-là les pèlerins marchent 15 kilomètres environ et en même temps, ils chantent des chansons religieuses et récitent des prières à la Vierge de Chapi. On peut voir des pratiques de dolorisme partout, pourtant il y a des gens qui ne sont pas catholiques mais qui arrivent au sanctuaire pour faire du tourisme ou de l’aventure.





GASTRONOMIE :


Le dernier bout s’appelle « sept bâches » car il y a beaucoup de commerçants qui s’installent pour vendre des aliments, du pain, des plats traditionnels et de la soupe de poule, aussi des boissons comme la bière.


Mon Voyage à Chivay

Mon Voyage à Chivay
INTRODUCTION :
Le 27 Juillet 2015, j’ai voyagé à Chivay avec mes amis, c’est un petit village de la région Arequipa vraiment intéressant et pittoresque.
Le mot Chivay vient du terme quechua (chuay), o chua, lequel signifie plat en boue*

LOCALISATION :
·         Chivay est un village et le chef-lieu de la province de Caylloma, dans la région Arequipa.
·         Il est situé à 3 635 mètres au-dessus du niveau de la mer, sous le versant occidental des Andes, dans la partie haute du Canyon du Colca.

ITINÉRAIRE :



Nous sommes partis d’Arequipa le dimanche 26 juillet 2015 à midi. D’abord, nous avons pris un bus à la gare routière de la ville. La durée du voyage a été de 3 h 50 environ. C’est pour cela que nous sommes arrivés à Chivay à 4 h de l’après-midi.



Du terminal de Chivay, nous avons pris l’avenue principale XX° Siècle et nous avons marché pendant 10 minutes, après nous sommes arrivés à la place principale. En face d’elle et sur le  côté droit de l’église, nous nous sommes installés dans un bel hôtel lequel s’appelle Yaravi.

Aux alentours, il y avait beaucoup de commerces, car la fête Nationale du Pérou était le lendemain.
À 16h30, nous avons déjeuné au restaurant de l’hôtel, et après nous nous sommes promenés au marché et à la place principale où nous avons acheté des petits souvenirs.
Le 27 juillet, nous nous sommes réveillés tôt et nous avons pris le petit déjeuné encore à l’hôtel, nous avons contourné Chivay pour découvrir le paysage et bien sûr pour prendre des photos.
À 11 heures, nous avons pris un petit bus, pour aller aux bains thermaux « La Calera » lesquels font  38 degrés de température. Il faisait beau et le soleil brillait, ici nous sommes restés jusqu’à 14h00. Là-bas, il y a un pont suspendu où les petits enfants couraient et j’avais peur de tomber

À 16h, nous sommes rentrés au village et à la gare routière, nous avons acheté le billet de retour à Arequipa pour le retour du lendemain.
Le soir, nous avons pris des dernières photos du marché, de la place principale, où il y avait des statues des danseurs de wititi. Le sujet de décor du village est cette danse typique laquelle a été déclarée patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Le 28 juillet à 9 h 30, nous avons pris le bus de retour. Finalement, nous sommes retournés à 13h30,  à Arequipa.





COMMENTAIRES :
Mes sentiments et mes émotions :
Pour moi ce voyage a été magnifique, j’étais très contente pendant l’aller et le séjour par contre j’ai détesté le retour.
Malheureusement, je n’ai pas connu le canyon du Colca, parce-que le temps a été très court, j’étais triste à cause de cet inconvénient. 
Impressions du voyage :
J’aurais voulu rester à Chivay pendant une semaine, pour découvrir les petits villages des alentours comme Yanque et Cabanaconde.
La prochaine fois que j’aie l’opportunité de voyager, j’achèterai un tour. J’aimerais bien faire de la randonnée et aller jusqu’à l’oasis.